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2019
Lot-et-garonne, France
Que faire lorsque l’on ne se reconnait plus dans un modèle de société basé sur la croissance par la consommation ?
L'expression éco-village a vu le jour lors du Sommet de la Terre à Rio de Janeiro au Brésil en 1992. Suite au rapport Brundtland de la Commission mondiale sur l'environnement produit en 1987 faisant le constat alarmant du réchauffement de la planète, de la raréfaction de l'eau, d'espèces vivantes et de l'accroissement de la pauvreté dans le monde, les dirigeants de 178 pays se sont réunis à Rio pour discuter de l'avenir de la planète.
Frédéric Bosqué. "Entrepreneur humaniste." Créateur de Tera en 2015.
Marie-Héléne Muller, co-présidente de Tera.
Très sensible à l'idée de revenu de base inconditionnel et de création de monnaies complémentaires locales, elle rejoint Frederic Bosqué dès le début de la création du projet Tera en 2015.
La mission principale de Tera est de bâtir un Éco-hameau expérimental dont 85% de la production vitale à ses habitants sera relocalisée et son empreinte écologique raisonnée. Pour irriguer son territoire de vie, cette production sera valorisée en monnaie citoyenne locale (MCL) émise via un revenu d’autonomie versé à tous ses habitants. Installé sur une zone rurale à revitaliser, en partenariat avec toutes ses parties prenantes, cet Éco-Hameau sera co-construit par une vingtaine d’habitants et des artisans locaux sur la base d’une dizaine d’habitats légers visant leur autonomie en eau et en énergie.
Thibaud en séance de méditation. Se retrouver avec soi- même, communication non-violente, groupe de parole libre, la recherche de la communion avec la nature et le compréhension de l'autre sont des notions primordiales au sein de Tera. Un modèle de tolérance et d'acceptation.
En 2018, c'est environ 1 tonne de légumes qui aura été produite. De quoi subvenir aux besoins des membres permanents ainsi que des aidants de passage.
A ce jour, en 2019, ce sont 40 membres permanents qui ont rejoint le hameau de Lartel à Masquières dans le Lot-et-Garonne. Les membres, tous d’horizons divers veillent à construire l’écosystème et surtout à le viabiliser.
Tera accueille aussi nombre de personnes se cherchant et cherchant à aider par leur savoir et compétences.
2019
Lot-et-garonne, France
Que faire lorsque l’on ne se reconnait plus dans un modèle de société basé sur la croissance par la consommation ?
L'expression éco-village a vu le jour lors du Sommet de la Terre à Rio de Janeiro au Brésil en 1992. Suite au rapport Brundtland de la Commission mondiale sur l'environnement produit en 1987 faisant le constat alarmant du réchauffement de la planète, de la raréfaction de l'eau, d'espèces vivantes et de l'accroissement de la pauvreté dans le monde, les dirigeants de 178 pays se sont réunis à Rio pour discuter de l'avenir de la planète.
Frédéric Bosqué. "Entrepreneur humaniste." Créateur de Tera en 2015.
Marie-Héléne Muller, co-présidente de Tera.
Très sensible à l'idée de revenu de base inconditionnel et de création de monnaies complémentaires locales, elle rejoint Frederic Bosqué dès le début de la création du projet Tera en 2015.
La mission principale de Tera est de bâtir un Éco-hameau expérimental dont 85% de la production vitale à ses habitants sera relocalisée et son empreinte écologique raisonnée. Pour irriguer son territoire de vie, cette production sera valorisée en monnaie citoyenne locale (MCL) émise via un revenu d’autonomie versé à tous ses habitants. Installé sur une zone rurale à revitaliser, en partenariat avec toutes ses parties prenantes, cet Éco-Hameau sera co-construit par une vingtaine d’habitants et des artisans locaux sur la base d’une dizaine d’habitats légers visant leur autonomie en eau et en énergie.
Thibaud en séance de méditation. Se retrouver avec soi- même, communication non-violente, groupe de parole libre, la recherche de la communion avec la nature et le compréhension de l'autre sont des notions primordiales au sein de Tera. Un modèle de tolérance et d'acceptation.
En 2018, c'est environ 1 tonne de légumes qui aura été produite. De quoi subvenir aux besoins des membres permanents ainsi que des aidants de passage.
A ce jour, en 2019, ce sont 40 membres permanents qui ont rejoint le hameau de Lartel à Masquières dans le Lot-et-Garonne. Les membres, tous d’horizons divers veillent à construire l’écosystème et surtout à le viabiliser.
Tera accueille aussi nombre de personnes se cherchant et cherchant à aider par leur savoir et compétences.
Tous droits réservés ©David Sepeau 2025
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